A 10h, retour à Courçay.
Alors que Viviane va boire un
café au bistro, je gagne avec Oscar le plateau. Le givre recouvre la végétation. Traversée
d’immenses étendues sans arbre qui sont une vaste plaine céréalière. On
aperçoit au loin les camions qui défilent sur l’inévitable N143, abominablement
droite, avec tout le boucan induit. Le sentier bifurque à travers des champs de
rave. Je laisse loin derrière moi Oscar, fouinant, creusant et agrandissant les
galeries de rongeurs. Lorsqu’il ne me voit plus, il se décide à accourir enfin.
Heureusement une brume légère
rompt la monotonie de ces paysages. A l’occasion de la traversée d’une zone
plus humide, on atteint un milieu de haies et de lisières, bref espace de
verdure.
Le GR 46 et le GRP redescendent
dans la vallée, ici plus encaissée. On longe l’Indre et on atteint
Reignac-sur-Indre. Les GR se dirigent vers la rive droite. La partie la plus
ancienne du bourg est située sur cette rive autour du château et de l’église.
Après le bourg, on pénètre dans le bois de Reignac. L’itinéraire devient
forestier, contourne le bois, rejoint des allées longeant de nombreuses
parcelles privées.
On retrouve l’Indre. Une petite
route puis un chemin de lisière non loin de la rivière mènent à un cimetière, à
proximité du moulin de la
Follaine où l’on retrouve Viviane à 12h30. Nous mangeons
sur place dans le fourgon. Plus loin, là-bas, en face de nous, un camp de gens
du voyage…
Dans
l’après-midi, retour vers Le Menoux (département de l’Indre) où nous habitons.
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